jeudi 20 décembre 2012

LES TEMOIGNAGES

             Des témoignages très importants ont été IGNORES par la Justice de notre pays, la FRANCE, une soi-disant DEMOCRATIE.

              1 - Madame P. voit arriver JE  dans sa 205 rouge immatriculée 63 ( Puy-de-Dome ). Cette dame habite face au parking de l'écluse sur la berge opposée à la maison de l'éclusier et à la voie ferrée. Elle est entendue par l'adjudant H. le vendredi 26 septembre lorsqu'elle va signaler la présence de la voiture depuis la veille au soir vers 18h30. Elle remarque d'autant plus cette voiture qu'elle est elle-même originaire d'Issoire (63). Elle et son mari ( qui a vu la voiture garée à 5 heures du matin, vide, n'ont pas été réinterrogés alors qu'ils étaient totalement incrédules sur la présence d'un corps à cet endroit une partie de la nuit et toute la matinée sans être vu : leur fils prend le train à Grisolles et passe le matin à cet endroit dans le sens Montauban Toulouse, sens dans lequel la vue est excellente sur les 2 voies ) .

voir la vidéo passage en cabine de TER  ................ lien vers video à mettre ICI ....

               2 - Monsieur et Madame E. habitent juste avant le passage à niveau 180. J'ai eu cette dame au téléphone lorsque, le samedi 27 au matin, je cherche à joindre quelqu'un qui aurait pu voir arriver Jean-Eudes la veille, la gendarmerie de Fronton étant fermée (c'est ce qu'on m'a dit le vendredi soir ). Elle me dit que son mari a fourni des chaises pour faire assoir les 2 conducteurs qui ont découvert le corps à midi 10 et qu'ils étaient très choqués alors qu'ils ne l'ont pourtant pas écrasé. Ils ne seront jamais entendus.

              3 - Monsieur et Madame D. habitent l'ancienne maison garde-barrière. Ils vivent là avec un fils d'une quarantaine d'années. Ils n'ont pas été entendus par les gendarmes le jour du drame, alors qu'ils se trouvent à 100 mètres de l'endroit où le corps a été découpé au fond de leur jardin qui longe la voie entre canal et voie ferrée. Ils seront entendus 2 mois plus tard, suite à ma demande au procureur d'une enquête digne de ce nom. Suite à ma venue chez eux le 6 octobre 2008, 10 jours après le drame, je fais une déposition chez l'adjudant H. à Fronton le 16 octobre 2008. Le comportement et les dires de ces personnes m'intriguent fortement. Lors de leurs déposition ils iront jusqu'à dire aux gendarmes que je leur ai dit que JE " avait vécu une séparation il y a 3 semaines" invention totale car JE était séparé d'A.depuis près de 2 ans, et qu'il craignait que je commette un sabotage sur la voie (alors que je venais entre canal et VF en tee-shirt avec un appareil photo à la main ). D'autres déclarations imaginaires de ces personnes sur moi-même et JE ont été signalées aux juges qui n'en ont pas tenu compte.


              4 - Monsieur X. et Madame D. habitent la maison face à l'écluse, côté voie ferrée. Eux non plus ne sont pas interrogés par les gendarmes le jour du drame. Ils seront entendus le même jour que Monsieur et Madame D. et leurs déclarations seront incohérentes, mais ces incohérences signalées en appel ne seront pas relevées par la Présidente de la cour d'appel. 

26 janvier 2013 : tous les soupçons sur l'éclusier et sa compagne sont levés suite à un échange téléphonique où toutes les incohérences ont été levées. Si tous les points ambigüs du dossier , toutes les zones d'ombre avaient pu être levées par la Justice, ce blog n'aurait jamais été écrit MAIS ni la gendarmerie ( Fronton et BR de Toulouse ), ni la JUSTICE, n'ont fait leur travail et je le crie HAUT et FORT et j'attends tous les jours d'être convoqué par la Justice pour qu'on puisse avoir des explications claires sur toutes les zones d'ombre et les manipulations faites par les enquêteurs qui se trouvent dans le dossier d'enquête que je détiens en tant que partie civile. Le procureur et les juges successifs ont eu 4 ans pour le faire et ont rejeté avec mépris toutes les demandes censées et justifiées qui ont été faites (dont les dernières en juin 2012 lors de l'audience en appel).

Je suis obligé de faire cette enquête contre la justice qui protège des criminels ( oui je le répète et j'accuse la Justice de ne pas avoir fait son travail. J'attends donc une convocation pour pouvoir enfin m'exprimer et crier à l'injustice : mon fils ne s'est ni suicidé ni n'a été accidenté. Il a été tué puis jeté mort sous un wagon en fin de matinée avant la découverte du corps

OUI, avant ce 26 septembre 2008,  je faisais confiance à notre gendarmerie et à notre justice. Malheureusemnt je me suis rendu compte très vite qu'on nous manipulait et celà est intolérable quand on vient de perdre un fils dans ces conditions, d'avoir face à soi une gendrmerie et une Justice qui MENT et manipule tout sans répondre à des questions simples qui demandent des réponses SIMPLES.

lien vers "demande d'actes à la chambre de l'instruction de la cour d'appel"  ...

               Tous ces témoins locaux habitant près de l'écluse et près du passage à niveau ont déclaré n'avoir rien vu, ni rien entendu de la nuit ni de la matinée. Une contre-enquête personnelle me conduira sur 2 pistes très sèrieuses qui contredisent ces affirmations ( je peux les fournir par mail privé car sinon, je serais attaqué en diffamation ). Ces informations et la demande de ré-audition des ces témoins a été faite à la cour d'appel mais a été rejetée puisque la Justice refuse de voir les évidences qui conduisent à l'homicide.

              Tout ce qui pouvait conduire à des pistes prouvant un homicide ont été écartées à chaque demande d'actes aux 3 juges d'instruction, qui ont eu à se prononcer sur ce dossier étrangement cadenassé. 

              5 - Un autre témoin très important ( que j'ai contacté 2 ans après le drame car son nom et son n° de téléphone figuraient dans le dossier ), Monsieur Z., cdt SNCF, appelé sur les lieux pour gérer la remise en circulation des trains, arrivera le 1er sur les lieux vers midi 15 et passera les 3h 1/2 à noter qui faisait quoi dans un rapport REX trés détaillé figurant dans le dossier. Ce Monsieur a demandé dans un courrier très clair et explicite à être entendu par les juges : son avis est sans ambiguïté = ce corps ne venait pas de passer vivant sous un train dans la matinée comme le prétendent gendarmes et magistrats / le TIC de la BR lui a dit que la mort remontait à 6 heures minimum / Mr Z. n'a jamais vu de corps dans un tel état ( froid et sec sans aucune trace de sang = un cadavre ) au cours des 20 ans de déplacement sur les accidents de personne / tous ses collègues conducteurs de trains Toulousains qui passent à cet endroit depuis 20 ans affirment qu'aucun conducteur ne peut ne pas voir un corps au milieu de la voie. Pour lui la seule possibilité est un jet à 2 personnes du corps déjà mort sous un wagon du dernier train corail TEOZ 3630 passé juste avant midi au ralenti, dont le conducteur ( audition dans dossier + je l'ai eu au téléphone 3 fois ) a AFFIRMé avec certitude n'avoir ni heurté avec sa locomotive, ni être passé sur un corps au milieu de la voie à 11h45 dans le sens Toulouse-Montauban, sur la voie côté canal. De plus ce conducteur était accompagné par un autre conducteur de Limoges depuis Toulouse.

              La justice a aussi refusé d'entendre ce 2ième conducteur de Limoges.

              Malgré toutes ces précisions fondées et réalistes, l'audition de Mr Z. sera rejetée à 3 reprises. 

             On ne peut qu'en déduire que tout ce qui n'allait pas dans le sens de la thèse du suicide a été rejeté par la justice. 

              TOUT CECI C'EST EXTREMENT LOUCHE. Après ces 4 années d'enquête verrouillée, la seule conclusion à en tirer c'est que des personnes sont protégées ( pourquoi ? ) Une autre certitude : c'est la gendarmerie qui verrouille et la Justice qui suit.

              Des réformes majeures devraient être réalisées pour que la justice devienne réellement indépendante. Pour celà les Parquets ( procureurs ) doivent être indépendant du pouvoir exécutif ( Président de la République et garde des Sceaux ). Les juges d'instruction sont théoriquement indépendants, mais peuvent être dessaisis d'un dossier par le Procureur de la République.

              Cette absence d'indépendance s'est manifestée lors de l'instruction au bout de 6 mois, la juge D. a été brutalement dessaisie du dossier, en mai 2010, alors que des commissions rogatoires n'étaient pas encore réalisées, et ne le seront jamais ( une d'elles était très importante car elle demandait un passage de jour et de nuit dans une cabine de conduite d'une locomotive après avoir déposé un mannequin sur la voie ferrée à l'endroit de la découverte du corps ). 


              D'autre part, seuls 2 conducteurs passés entre 11h et midi ont été entendus alors que 6 trains sont passés dans les 2 sens entre 11h et midi auraient dû voir le corps, sans parler des 40 trains passés durant toute la matinée.

               Autre événement majeur : une source proche du dossier ( un magistrat ) m'a conseillé de faire une demande de dépaysement du dossier, ce qui a été fait devant la cour de cassation à Paris en avril 2012 et a été rejeté sans motif. Cette demande de dépaysement est requise lorsque l"impartialité des juges est mise en cause, donc pour qu'un magistrat Toulousain la conseille, c'est qu'il sait que ce dossier est verrouillé à Toulouse et que l'homicide ne sera jamais reconnu dans cette ville ( celà laisse à penser qu'il y a des protections locales ).

               Après un non-lieu en janvier 2012 par le juge d'instruction C. et le rejet de la demande de dépaysement, l'audience en appel à eu lieu le 28 juin 2012 à Toulouse. Il y était demandé d'explorer toutes les zones d'ombre rejetée lors de l'instruction + de nouvelle demandes très précises liées à ma contre-enquête (audition de certaines personnes qui se sont contredites ). L'arrêt a été rendu le 15 novembre 2012 et a confirmé le non-lieu de l'instruction. Aucune des demandes pertinentes soumises à la Présidente de cette cour n'a été retenue.

               Un pourvoi en cassation a été déposé. Cette procédure est très longue, mais si la cour de cassation casse l'arrêt de la cour d'appel de Toulouse, celà provoquera automatiquement le dépaysement du dossier et l'ouverture d'une nouvelle instruction devant un autre TGI ailleurs qu'à Toulouse. Dans ce cas l'évidence d'une enquête orientée "suicide" et à charge sautera aux yeux d'un nouveau juge d'instruction.

                


3 commentaires:

À 4 mars 2013 à 14:45 , Blogger Jean Lombard a dit...

4 mars 2013 : commentaires autorisés

 
À 5 janvier 2014 à 15:59 , Blogger Unknown a dit...

Bonjour,

Pourriez-vous me contacter sur mon adresse mail par discretion bernuchondmu@yahoo.fr

Cordialement

 
À 13 mars 2015 à 22:15 , Blogger Unknown a dit...

Compte christelle31000@orange.fr

 

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