samedi 2 mars 2013

PIECES DU DOSSIER

Je commenterai et compléterai ....

Le rapport de criminalistique D73 - D74 des TIC ( quel beau nom mais truffé de mensonges !!! ) le voilà.
Je le commenterai point par point car il vaut le détour ( ils étaient 2 quand même.....eh bien pas un pour rattraper les "erreurs " de l'autre !!! étrange non ? des ORDRES venus d'en  haut ?? ça y ressemble beaucoup )





1er rapport du médecin légiste D14 du 27 sept 2008 qui n'a fait qu'un simple "examen externe de corps" vite fait ( surtout ne pas parler du linge ensanglanté qui entoure le torse sur le ballast entre les rails et ne pas regarder à l'intérieur, au cas où il n'y aurait plus les organes : coeur, reins, foie, pancreas ..etc )  :


Le 2ième rapport D16 du 17 nov 2008, par le même médecin-légiste, suite à mon courrier de colère au procureur à la fin du mois d'octobre 2008 ( lorsque j'ai appris par l'IML qu'il n'y avait pas eu d'autopsie contrairement aux dires de l'adjudant H. ). Cette extraction du corps a été une véritable mascarade, si bien que le corps pris en photo à l'IML n'est pas celui de la voie ferrée. Celui de la VF avait un linge ensanglanté noué autour du torse et d'autres caractéristiques qui différent et là il n'en est plus question  :



D108 : ce rapport du médecin légiste est en totale contradiction avec les photos des TIC sur la voie ferrée. on ne peut qu'en déduire que ce n'est pas le même corps ( donc pas le corps de Jean Eudes )
Je commenterai bientôt ce qui est souligné en rouge :
 


1er PV de synthèse D65 -D66 des enquêteurs de la BR en août 2009 ( accident ) .. ..10 mois d'enquête préliminaire "bidon" pour en arriver là, sans auditionner les 6 conducteurs de trains passés au ralenti sur la voie 2 côté canal  ( celle du corps ) entre 11h et midi. :


Cette conclusion est MENSONGERE (J'expliquerai pourquoi en détail )  :



......et voilà la pièce du dossier D109 qui a tout fait basculer : le témoignage de Mme P. qui habite à l'écluse d'embalens ( face au parking ) et une vue panoramique depuis sa cuisine et son séjour, sur l'écluse, sur la route en direction de la RN20(ex) et sur le passage à niveau 180.

      Elle affirme le jour-même que la personne qui conduit et gare la 205 rouge, porte un pantalon et une veste GRIS, et de plus qu'il a 30 - 40 ans. Or Jean-Eudes ne porte jamais de veste. Son  unique costume est dans sa penderie et ses 2 pantalons gris aussi. Ce jour-là Jean-Eudes porte le polo "The North Face" à rayures vertes et blanches horizontales (voir plus loin les témoignages de ses collègues de bureau et du copain avec qui il a déjeuné à midi et bu un café à 17h).

      Ce témoignage est à mettre en relation avec d'autres informations qui montrent que cette enquête est "bidon".
 
1 - Tentative de suicide de l'adjt H. de Fronton qui, à + de 50 ans, se suicide à cause de l'enquête sur la mort de JE (on lui a imposé de classer en suicide et n'a pas supporté les pressions contradictoires de Jean Lombard et de sa hiérarchie car ils avait bien que ce n'était pas un suicide).
      Les sources de ces informations sur l'adjudant H. sont fiables et j'ai les preuves par mails archivés.

2 - Conseil téléphonique, puis confirmation par mail,  à Mr Lombard, de la juge d'instruction D., de demander le dépaysement du dossier ( autrement dit : "il est verrouillé à Toulouse" ..).



.......et le témoignage D111 d'un des 2 conducteurs de la locomotive seule ( Haut Le Pied )  ( qui part de Toulouse à 11h45' au moment même ou le dernier train commercial de la matinée, le TEOZ Corail 3630 Cerbere-Paris vient de franchir le passage à niveau PN180 de St Rustice ) qui découvre le corps ( cadavre FROID et sans aucune trace de sang )  déjà découpé sur la voie ferrée au milieu de la voie 2 côté canal sens Toulouse-Montauban


...... et encore le témoignage D112 d'un conducteur d'une autre locomotive seule ( Haut Le Pied ) qui arrive juste après la découverte du corps et s'arrête avant le corps :


.........et cet excellent rapport D246 - D247 du chef de district SNCF Mr Z. qui est arrivé à midi 1/4 et a noté minute par minute le déroulement des évènements ( pendant plus d'une heure l'adjudant H. a appelé un médecin légiste à l'IML du CHU de Rangueil à Toulouse: sur l'insistance de la procureure L. Bizaremment il n'est jamais venu ). A 14 h,  4 gendarmes de la BR de Toulouse St Michel arrivent sur les lieux à la demande de la Lieutenant Colonel B. (dont 2 TIC -techniciens d'investigation criminelle-) 

        Bizarement, dés l'arrivée de la BR, l'option médecin-légiste est abandonnée et c'est là que commence le VERROUILLAGE de l'enquête ( mais qui donc verrouille cette enquête et annonce au journaliste de la Dépéche du Midi, Frédéric Abéla, que "selon la BR de gendarmerie de Toulouse St Michel, il s'agirait d'un suicide" !!! ). 

A NOTER :  "14h : l'OPJ appelle les pompes funèbres sans attendre le passage du légiste"  !!!!


        C'est extrèmement LOUCHE cet empressement de la BR à annoncer un suicide alors que personne n'est censé savoir qui a écrasé ce corps ni quand et qu'aucun début de la moindre enquête n'a commencé !!!!!





je vais continuer à compléter cette liste de pièces du dossier avec commentaires dans la semaine du 4 au 9 mars 2013..... à bientôt pour la suite "édifiante".


jeudi 20 décembre 2012

LES TEMOIGNAGES

             Des témoignages très importants ont été IGNORES par la Justice de notre pays, la FRANCE, une soi-disant DEMOCRATIE.

              1 - Madame P. voit arriver JE  dans sa 205 rouge immatriculée 63 ( Puy-de-Dome ). Cette dame habite face au parking de l'écluse sur la berge opposée à la maison de l'éclusier et à la voie ferrée. Elle est entendue par l'adjudant H. le vendredi 26 septembre lorsqu'elle va signaler la présence de la voiture depuis la veille au soir vers 18h30. Elle remarque d'autant plus cette voiture qu'elle est elle-même originaire d'Issoire (63). Elle et son mari ( qui a vu la voiture garée à 5 heures du matin, vide, n'ont pas été réinterrogés alors qu'ils étaient totalement incrédules sur la présence d'un corps à cet endroit une partie de la nuit et toute la matinée sans être vu : leur fils prend le train à Grisolles et passe le matin à cet endroit dans le sens Montauban Toulouse, sens dans lequel la vue est excellente sur les 2 voies ) .

voir la vidéo passage en cabine de TER  ................ lien vers video à mettre ICI ....

               2 - Monsieur et Madame E. habitent juste avant le passage à niveau 180. J'ai eu cette dame au téléphone lorsque, le samedi 27 au matin, je cherche à joindre quelqu'un qui aurait pu voir arriver Jean-Eudes la veille, la gendarmerie de Fronton étant fermée (c'est ce qu'on m'a dit le vendredi soir ). Elle me dit que son mari a fourni des chaises pour faire assoir les 2 conducteurs qui ont découvert le corps à midi 10 et qu'ils étaient très choqués alors qu'ils ne l'ont pourtant pas écrasé. Ils ne seront jamais entendus.

              3 - Monsieur et Madame D. habitent l'ancienne maison garde-barrière. Ils vivent là avec un fils d'une quarantaine d'années. Ils n'ont pas été entendus par les gendarmes le jour du drame, alors qu'ils se trouvent à 100 mètres de l'endroit où le corps a été découpé au fond de leur jardin qui longe la voie entre canal et voie ferrée. Ils seront entendus 2 mois plus tard, suite à ma demande au procureur d'une enquête digne de ce nom. Suite à ma venue chez eux le 6 octobre 2008, 10 jours après le drame, je fais une déposition chez l'adjudant H. à Fronton le 16 octobre 2008. Le comportement et les dires de ces personnes m'intriguent fortement. Lors de leurs déposition ils iront jusqu'à dire aux gendarmes que je leur ai dit que JE " avait vécu une séparation il y a 3 semaines" invention totale car JE était séparé d'A.depuis près de 2 ans, et qu'il craignait que je commette un sabotage sur la voie (alors que je venais entre canal et VF en tee-shirt avec un appareil photo à la main ). D'autres déclarations imaginaires de ces personnes sur moi-même et JE ont été signalées aux juges qui n'en ont pas tenu compte.


              4 - Monsieur X. et Madame D. habitent la maison face à l'écluse, côté voie ferrée. Eux non plus ne sont pas interrogés par les gendarmes le jour du drame. Ils seront entendus le même jour que Monsieur et Madame D. et leurs déclarations seront incohérentes, mais ces incohérences signalées en appel ne seront pas relevées par la Présidente de la cour d'appel. 

26 janvier 2013 : tous les soupçons sur l'éclusier et sa compagne sont levés suite à un échange téléphonique où toutes les incohérences ont été levées. Si tous les points ambigüs du dossier , toutes les zones d'ombre avaient pu être levées par la Justice, ce blog n'aurait jamais été écrit MAIS ni la gendarmerie ( Fronton et BR de Toulouse ), ni la JUSTICE, n'ont fait leur travail et je le crie HAUT et FORT et j'attends tous les jours d'être convoqué par la Justice pour qu'on puisse avoir des explications claires sur toutes les zones d'ombre et les manipulations faites par les enquêteurs qui se trouvent dans le dossier d'enquête que je détiens en tant que partie civile. Le procureur et les juges successifs ont eu 4 ans pour le faire et ont rejeté avec mépris toutes les demandes censées et justifiées qui ont été faites (dont les dernières en juin 2012 lors de l'audience en appel).

Je suis obligé de faire cette enquête contre la justice qui protège des criminels ( oui je le répète et j'accuse la Justice de ne pas avoir fait son travail. J'attends donc une convocation pour pouvoir enfin m'exprimer et crier à l'injustice : mon fils ne s'est ni suicidé ni n'a été accidenté. Il a été tué puis jeté mort sous un wagon en fin de matinée avant la découverte du corps

OUI, avant ce 26 septembre 2008,  je faisais confiance à notre gendarmerie et à notre justice. Malheureusemnt je me suis rendu compte très vite qu'on nous manipulait et celà est intolérable quand on vient de perdre un fils dans ces conditions, d'avoir face à soi une gendrmerie et une Justice qui MENT et manipule tout sans répondre à des questions simples qui demandent des réponses SIMPLES.

lien vers "demande d'actes à la chambre de l'instruction de la cour d'appel"  ...

               Tous ces témoins locaux habitant près de l'écluse et près du passage à niveau ont déclaré n'avoir rien vu, ni rien entendu de la nuit ni de la matinée. Une contre-enquête personnelle me conduira sur 2 pistes très sèrieuses qui contredisent ces affirmations ( je peux les fournir par mail privé car sinon, je serais attaqué en diffamation ). Ces informations et la demande de ré-audition des ces témoins a été faite à la cour d'appel mais a été rejetée puisque la Justice refuse de voir les évidences qui conduisent à l'homicide.

              Tout ce qui pouvait conduire à des pistes prouvant un homicide ont été écartées à chaque demande d'actes aux 3 juges d'instruction, qui ont eu à se prononcer sur ce dossier étrangement cadenassé. 

              5 - Un autre témoin très important ( que j'ai contacté 2 ans après le drame car son nom et son n° de téléphone figuraient dans le dossier ), Monsieur Z., cdt SNCF, appelé sur les lieux pour gérer la remise en circulation des trains, arrivera le 1er sur les lieux vers midi 15 et passera les 3h 1/2 à noter qui faisait quoi dans un rapport REX trés détaillé figurant dans le dossier. Ce Monsieur a demandé dans un courrier très clair et explicite à être entendu par les juges : son avis est sans ambiguïté = ce corps ne venait pas de passer vivant sous un train dans la matinée comme le prétendent gendarmes et magistrats / le TIC de la BR lui a dit que la mort remontait à 6 heures minimum / Mr Z. n'a jamais vu de corps dans un tel état ( froid et sec sans aucune trace de sang = un cadavre ) au cours des 20 ans de déplacement sur les accidents de personne / tous ses collègues conducteurs de trains Toulousains qui passent à cet endroit depuis 20 ans affirment qu'aucun conducteur ne peut ne pas voir un corps au milieu de la voie. Pour lui la seule possibilité est un jet à 2 personnes du corps déjà mort sous un wagon du dernier train corail TEOZ 3630 passé juste avant midi au ralenti, dont le conducteur ( audition dans dossier + je l'ai eu au téléphone 3 fois ) a AFFIRMé avec certitude n'avoir ni heurté avec sa locomotive, ni être passé sur un corps au milieu de la voie à 11h45 dans le sens Toulouse-Montauban, sur la voie côté canal. De plus ce conducteur était accompagné par un autre conducteur de Limoges depuis Toulouse.

              La justice a aussi refusé d'entendre ce 2ième conducteur de Limoges.

              Malgré toutes ces précisions fondées et réalistes, l'audition de Mr Z. sera rejetée à 3 reprises. 

             On ne peut qu'en déduire que tout ce qui n'allait pas dans le sens de la thèse du suicide a été rejeté par la justice. 

              TOUT CECI C'EST EXTREMENT LOUCHE. Après ces 4 années d'enquête verrouillée, la seule conclusion à en tirer c'est que des personnes sont protégées ( pourquoi ? ) Une autre certitude : c'est la gendarmerie qui verrouille et la Justice qui suit.

              Des réformes majeures devraient être réalisées pour que la justice devienne réellement indépendante. Pour celà les Parquets ( procureurs ) doivent être indépendant du pouvoir exécutif ( Président de la République et garde des Sceaux ). Les juges d'instruction sont théoriquement indépendants, mais peuvent être dessaisis d'un dossier par le Procureur de la République.

              Cette absence d'indépendance s'est manifestée lors de l'instruction au bout de 6 mois, la juge D. a été brutalement dessaisie du dossier, en mai 2010, alors que des commissions rogatoires n'étaient pas encore réalisées, et ne le seront jamais ( une d'elles était très importante car elle demandait un passage de jour et de nuit dans une cabine de conduite d'une locomotive après avoir déposé un mannequin sur la voie ferrée à l'endroit de la découverte du corps ). 


              D'autre part, seuls 2 conducteurs passés entre 11h et midi ont été entendus alors que 6 trains sont passés dans les 2 sens entre 11h et midi auraient dû voir le corps, sans parler des 40 trains passés durant toute la matinée.

               Autre événement majeur : une source proche du dossier ( un magistrat ) m'a conseillé de faire une demande de dépaysement du dossier, ce qui a été fait devant la cour de cassation à Paris en avril 2012 et a été rejeté sans motif. Cette demande de dépaysement est requise lorsque l"impartialité des juges est mise en cause, donc pour qu'un magistrat Toulousain la conseille, c'est qu'il sait que ce dossier est verrouillé à Toulouse et que l'homicide ne sera jamais reconnu dans cette ville ( celà laisse à penser qu'il y a des protections locales ).

               Après un non-lieu en janvier 2012 par le juge d'instruction C. et le rejet de la demande de dépaysement, l'audience en appel à eu lieu le 28 juin 2012 à Toulouse. Il y était demandé d'explorer toutes les zones d'ombre rejetée lors de l'instruction + de nouvelle demandes très précises liées à ma contre-enquête (audition de certaines personnes qui se sont contredites ). L'arrêt a été rendu le 15 novembre 2012 et a confirmé le non-lieu de l'instruction. Aucune des demandes pertinentes soumises à la Présidente de cette cour n'a été retenue.

               Un pourvoi en cassation a été déposé. Cette procédure est très longue, mais si la cour de cassation casse l'arrêt de la cour d'appel de Toulouse, celà provoquera automatiquement le dépaysement du dossier et l'ouverture d'une nouvelle instruction devant un autre TGI ailleurs qu'à Toulouse. Dans ce cas l'évidence d'une enquête orientée "suicide" et à charge sautera aux yeux d'un nouveau juge d'instruction.

                


mardi 18 décembre 2012

LA PLAINTE ET L'INSTRUCTION

              En mai 2009, voilà 8 mois que l'enquête préliminaire "patine". Aucun contact avec le vice procureur B. n'est possible et les 2 gendarmes enquêteurs de la BR de Toulouse ne sont pas très loquaces ( ils attendent depuis début novembre les BS des conducteurs de train  !!!!!). Celà s'appelle du "foutage de gueule" visant à écoeurer la famille , à faire craquer les opposants à la thèse officielle du suicide, les incitant à abandonner toute plainte devant un juge d'instruction.

             Voyant que l'enquête s'enlise et que rien n'est fait depuis des mois, une plainte contre X pour homicide volontaire avec constitution de parties civiles est déposée au TGI de Toulouse en mai 2009. Cette plainte sera validée en août 2009 moyennant un versement dans un délai de 10 jours d'une consignation de 4000 euros, un moyen de dissuasion financière pour empêcher les chercheurs de vérité d'aller plus loin..

             La consignation de 4000 euros sera versée dans les délais et l'accès au dossier d'instruction sera accessible sur cd-rom aux parties civiles fin septembre 2009, un an après les faits !!!!!!!!!!!!!

             La juge d'instruction M.D. est désignée et reçoit le père de Jean-Eudes et son avocat, le 6 octobre 2009.

             Avant le RV chez la juge, le dossier d'enquête préliminaire a été "décortiqué" par le père de Jean-Eudes et des découvertes intéressantes ont été faites. Ces dysfonctionnements sont donc signalés par écrit lors du RV chez la juge.

lien vers "remarques sur l'enquête préliminaire" ....


L'ENQUETE PRELIMINAIRE

                 C'est à la constatation d'une succession de gaffes et de mensonges par les gendarmes de Fronton, les adjudants H. et C. que le père de Jean-Eudes va écrire au Procureur de la République début novembre 2008.

                 Cette lettre LRAR déclenchera l'ouverture d'une "recherche des causes de la mort de JE " au travers de l'ouverture d'une enquête préliminaire le 12 novembre 2008, un mois 1/2 après le drame.

                 Bizaremment un nouveau Procureur est nommé alors que la procureure L. qui avait demandé la venue d'un médecin légiste sur la VF, a été évincée de l'enquête. C'est le vice-procureur B. qui est en charge du dossier et je comprendrai pourquoi dans les mois qui vont suivre ( sa mission = classer "sans suite" ce dossier en faisant admettre sans enquête que JE s'est bien suicidé ). Je l'ai ensuite appelé "Mr suicide",  le bien nommé.

                 1ère surprise : le 12 novembre, n'ayant aucune nouvelle de ma lettre au procureur, j'appelle le TGI de Toulouse et demande à parler au Procureur de la République ( en fait il y a un Procureur général et plusieurs procureurs sous ses ordres ). Le Procureur général est Mr V. qui vient d'être muté de Clermont Fd à Toulouse au printemps 2008.
                  Le vice-procureur B. me répond au téléphone et me dit : "ah mais vous êtes le père du jeune anorexique qui marchait sur la voie ferrée". Pris de colère suite à ce désastreux mois d'octobre, je lui dit: "vous pourriez au minimum vous assurer que vous parlez bien de la bonne personne;Mon fils était en très bonne santé et ne marchait pas sur les voies ferrées " et là il me répond " oh mais vous savez j'ai 5 suicides par jour"....je me suis dit "ok j'ai compris, "celui-ci c'est 'Monsieur suicide" à Toulouse, il traite spécialement les dossiers "suicide" et à partir de là je suis devenu à nouveau très méfiant et à juste raison...

................. à compléter .......

OCTOBRE 2008 : CLASSE "SUICIDE"

               Dés le 26 septembre 2008, l'adjudant H. de Fronton ( chef de brigade ) est obsédé par la recherche de raisons qui expliqueraient le suicide de Jean-Eudes alors que rien ne peut conduire à cette thèse.

               En effet, lorsque que j'ai ce gendarme au téléphone le lundi 29 septembre 2008, ce qu'il me raconte me semble déjà incohérent ( je précise que je ne suis pas impressionné par l'uniforme, donc je parle à un humain comme moi, ce qui a facilité le "décodage" de ses affirmations mensongères ).

               Il commence en me disant que :

              1 - Tous les trains qui sont passés de nuit et de jour ont été vérifiés et qu'aucune trace n'a été trouvée = FAUX. Ceci s'avérera un ENORME mensonge => voir "enquête préliminaire" et "plainte et instruction".

              2 - Le téléphone portable ( allumé ) de JE était dans l'herbe au bord du ballast AVEC la clef de voiture seule, et on a pas trouvé les clefs d'appartement : ARCHI-FAUX. Ces 2 mensonges sur les clefs vont mettre en doute dans mon esprit, la véracité de ces affirmations. C'est ce qui va m'inciter fortement à aller sur place voir les lieux et rencontrer les habitants du voisinage de cette écluse et du passage à niveau PN180 de St Rustice.Nous détenions une vue satellite du lieu, mais les explications sur la partie entre maison garde-barrière et canal que me donnait l'adjudant H. étaient imprécises.
                   Là aussi l'adjudant H. entretenait un "flou" : il m'avait décrit "un petit passage avec un portail que seuls les pêcheurs locaux empruntent" = FAUX.

             3 - Les clefs d'appartement n'ont pas été trouvées mais la porte de son studio était ouverte = FAUX ( doublement ). En effet je découvrirai le lundi suivant 6 octobre 2008, que les 3 clefs d'appartement sont sous scellé ( tordues, alors que la clef de voiture était intacte, attachée sur le même porte-clefs, et l'adjudant Cardona m'indique qu'elles étaient toutes sur le ballast ). Donc l'adjudant H. a menti encore.une fois.

             Il s'avérera que ces clefs ont bien été tordues par les gendarmes après leur récupération sur la VF. La seule raison que je vois c'est de bien montrer que les gendarmes n"ont pas pu ouvrir sa porte de studio !!!
Pour moi, JE n'avait pas laissé sa porte de studio ouverte.  Cette porte a été ouverte par les gendarmes avec la clef trouvée sur la voie ferrée et ensuite les clefs ont été tordues pour faire croire l'ouverture de la porte impossible par les gendarmes. Le but étant de faire croire que JE était perturbé. Il n'y pas d'autre raison ( les photos dans  le dossier confirmeront ce que je décris )..

.............. à compléter ................        


samedi 15 décembre 2012

CHRONOLOGIE DES FAITS

     Qui était Jean-Eudes : Toute sa famille et ses ami(e)s en ont témoigné : Il était quelqu'un de gentil,  attentionné, il aimait la vie et avait beaucoup d'ami(e)s et de centres d'intérêt dont la lecture, le cinéma, les concerts (comme les jeunes il allait voir des concerts en plein air ou en salle, de ses chanteurs ou groupes préférés : concert de Rock en Belgique en Juillet ),  le tennis de table ( 3 fois champion d'Auvergne ), le tennis, la randonnée en montagne,....etc... il venait de se mettre au surf en août 2008 .....

- Juin, Juillet et Août 2008 :

   Qu'a fait JE cet été ? :. Il n'a pas eu un week-end non occupé. J'ai même donné la liste depuis juin 2008 aux enquêteurs.Il est évident qu'il n'avait AUCUNE idée suicidaire mais plein de projets pour aller voir des camarades ( David en Thailande et Matthieu au Canada : il en est fait état dans ses mails récents, mails qui n'ont pas été versés au dossier malgré plusieurs demandes  ).

- Samedi 30 août : Jean-Eudes fait une randonnée au sommet du Mont Valier ( 1900 m de dénivelé positif ) dans les Pyrénées en compagnie de sa camarade F. ( photo de JE sur page d'accueil "Avertissement" ). ils ont fait ça dans la journée alors que les guides recommandent 2 jours. C'est dire la "pêche" physique qu'il avait.

Mois de septembre 2008 :

- we du 6 et 7 sept : Voyage en TGV pour aller voir son frère au Havre. Il passe au passage à niveau de St Rustice où son corps sera retrouvé 3 semaines plus tard.

- we du 13 et 14 sept : visite à ses parents et sa jeune soeur à St Germain Lembron,

- we du 19 au 21 sept : surf à Hossegor avec sa soeur ainée et son compagnon,

- semaine du 22 au 26 sept : semaine de travail normale à Mercator Océan à Ramonville (Sud de Toulouse)

               - lundi 22 : en vue d'un contact avec son ami d'enfance David vivant en Thailande, il crée sa page netlog sur invitation de David  netlog de Jean-Eudes  . Le soir il sort en ville avec son copain Pierre B.

               - mardi 23 : en fin de journée il achète chez Décathlon un duvet montagne en vue d'une randonnée dans les Pyrénées le week-end du 27-28 sept ( duvet dans son placard et bon d'achat sur son bureau )

               - mercredi 24 : le serrurier vient à son studio après le travail pour refaire des clefs de boite aux lettres égarées lors de son voyage au Havre ( facture du serrurier sur son bureau )

               - jeudi 25 septembre 2008 :

               Il remplit une carte de fidélité Décathlon et envoie le double, suite à son achat du duvet du mardi 23 sept 2008 ( 2 jours plus tôt ). 


              
               Journée de travail normale à Mercator Ocean( témoignages des collègues ) et de son camarade Pierre B. avec il mange à midi en parlant de leur we de randonnée prévue pour le we du 27 et 28 qui arrive  ( il fait très beau, ils mangent un sandwich à l'extèrieur, au soleil, en tee-shirt ). Vers 16h il prend un café au distributeur de boissons en compagnie de Pierre B. et d'un autre salarié d'une société voisine à qui il a transmis des données océanographiques.

                Cette randonnée a été organisée par Jean-Eudes ( itinéraire grâce à  ses topo-guides et à sa connaissance du terrain ) et Pierre B. qui a contacté d'autres ancien(ne)s camarades de fac de Toulon (master 2 MISSAO en 2005-2006).  

                Son collègue de bureau G. V. lui dit au revoir à 17h30, tout est normal après une journée normale (1). 

11 février 2013 : Tout ce qui est écrit à partir d'ici est FAUX et caduque popur cette fin de journée du 25 sept, mais OK pour le 26 sept. Jean-Eudes n'a jamais pris sa voiture pour aller à cette écluse ce soir du jeudi 25 septembre 2008. Un homme avec pantalon  et veste GRIS, de 30 à 40 ans, était au volant de sa 205 et Jean-Eudes n'y était pas. Il faut donc trouver où elle a été interceptée et quand JE s'est fait voler ses clefs. Il est sorti entre 17h30 et 18h du travail proche de son domicile à Ramonville. C'est donc à Ramonville au Sud de Toulouse qu'il faut chercher ce qui lui est arrivé. C'est ce que nous allons faire ( pas la gendarmerie ni la justice Toulousaine qui a tout fait pour saboter cette enquête ) : NOUS c'est la FORCE TRANQUILLE qui va faire TOMBER tous ces pourris qui gravitent autour de cette sordide affaire et qui n'en étaient pas à leur coup d'essai.

        Décidement, à Toulouse, police gendarmerie et Justice sont corrompus AD VITAM ETERNAM.... mais ça va bientôt changer, parole d'AUVERGNAT. 

                Jean-Eudes prend sa voiture ( 205 rouge immatriculée dans le 63 ) et se rend à l'écluse d'Embalens. Pourquoi ? Il est habitué de ballades le soir après le travail par beau temps ce qui est le cas ce jour-là. Passe-t-il à son studio avant d'aller à l'écluse ? prend-t-il l'autoroute (pas de ticket de péage trouvé)?

                Son ? ( pas certain que ce soit lui ) arrivée à l'écluse d'Embalens vers 18h30 / 19h (témoignage de Mme P. dont le mari vient de partir avec son fourgon, à 18h30 pétantes, pour sa tournée nocturne de livraisons) :



               
               Le parking à droite ( avec la 205 rouge garée au fond......pourquoi au fond ? ). Je suis allé au même endroit lorsque j'ai récupéré la voiture. Photo prise du pont. à gauche, la maison de l'éclusier.

               Jean-Eudes se gare au fond du parking face au au passage réservé au personnel des VNF situé sur la porte Sud, côté Toulouse, de l'écluse, mais voyant "interdit. passage réservé au personnel", il longe l'écluse et va traverser le pont sur lequel il vient de passer en voiture.

               Une fois le pont traversé il se dirige vers la maison éclusière et la péniche amarrée un peu plus loin ( ce qui est inhabituel pour les promeneurs qui restent du côté parking où se trouve la piste cyclable : remarque de Madame P. ).

              26 janvier 2013 : Après avoir discuté longuement avec l'éclusier et sa compagne je ( père de JE ) tiens à préciser que  lorsque leur chien a jappé dans  les jambes de Jean-Eudes, l'éclusier n'est pas sorti immédiatement pour lui parler, car il n'avait pas de RV avec quelqu'un ce soir-là pour la vente de la péniche-logement amarrée prés de l'écluse. Il est possible que JE avait vu cette annonce dans internet en cherchant des locations de péniche-logements à Toulouse ( ne connaissant pas cette écluse il a pu avoir l'idée d'aller la voir en se baladant, sans pour autant vouloir la visiter, étant donné qu'elle était à vendre et pas à louer MAIS il faut remarquer que le lieu où elle se trouvait n'était pas indiqué sur l'annonce internet, il fallait téléphoner pour avoir l'adresse..... donc une question en suspens ici !!!! ).

              Donc, après avoir fait 1/2 tour à cause du chien de l'éclusier, JE s'est dirigé vers le long du canal derrière la maison garde-barrière de Mr et Mme D. où une autre barge-dragueuse rouillée est amarrée un peu plus loin. 

               Il portait un polo de marque" The North Face" (2), il avait sa polaire verte sur les épaules et son  téléphone portable à la main. Il faisait très beau et chaud mais les nuits étaient fraiches cette semaine-là.

               Madame P. ( témoin n°1 ) qui a rapporté cette scène rentre dans sa cuisine et affirme ne pas savoir ce qui s'est passé après

              Les témoins n°2 et n°3 ( éclusier et sa compagne ) eux n'ont plus, ne savent pas ce qu'est devenu Jean-Eudes. Il n'est pas retourné à sa voiture. Le chien de l'éclusier n'a plus aboyé de la soirée ou de la nuit, ce qu'il fait pourtant si une personne franchit le pont de l'écluse à pieds, ce qu'aurait dû faire JE s'il était retourné à sa voiture à tombée de nuit ou dans la nuit. Donc il n'est pas revenu de derrière chez le retraité SNCF de la maison garde-barrière. Le retraité SNCF dit ne pas avoir entendu ni vu qui que ce soit, mais j'ai ( père de JE ) testé cette zone de jour et les 2 chiens du retraité SNCF ont aboyé lors de mon passage et de nuit un projecteur halogène très puissant s'est déclenché lorsque j'ai franchi la zone arrière de la maison jusqu'au canal. ( j'ai aussi d'autres informations que je ne peux pas mettre ici, qui prouvent qu'ils mentent )

              J'ai demandé à être confronté au retraité SNCF à sa femme et au fils, mais les juges n'ont jamais donné suite à mes demandes bizaremment, comme s'ils craignaient une contradiction, voir plusieurs au cours des confrontations ( et c'était très facile de les mettre devant leurs contradictions ).         

(1) : lien vers mail G.V.
(2) : lien vers photo polo
(3) : lien vers auditions témoins n°1, 2 et 3


                Plusieurs hypothèses sur "pourquoi JE est allé à cette écluse" et  "que s'est-il passé après son arrivée à l'écluse" sont possibles que nous n'évoquerons pas ici pour l'instant.

               Ces hypothèses pourront être fournies en message privé sur identification précise du questionneur.

               - vendredi 26 septembre 2008 :

               Sur la voie ferrée Toulouse-Montauban, parallèle au canal, 140 trains sont passés sur les 2 voies et dans les 2 sens entre 19h, le jeudi 25  et midi le 26 septembre.

               A midi 10, une locomotive seule ( Haut Le Pied ) monte de Toulouse sur la voie 2 côté canal ( à gauche ) avec 2 conducteurs à bord. Soudain juste après le passage à niveau PN180 de St Rustice, ils voient un corps au milieu de la voie et s'arrêtent ( il faut savoir que 15 trains sont passés avant eux dans les 2 sens entre 10h et midi sur cette seule voie, car l'autre est bizaremment fermée depuis 10h du matin pour travaux caténaires ). Ils préviennent le régulateur SNCF puis les  pompiers et les gendarmes de Fronton (ville la plus proche). Le chef de district SNCF arrive sur les lieux, 10 minutes plus tard et découvre un cadavre sec et froid. Les 2 conducteurs sont très choqués vu l'état du corps et surtout d'un cadavre ( spectacle inhabituel lors d'un "accident de personne" ). Très choqués par ce "spectacle macabre", ils déclarent ...ou bien "on" leur fait dire... que le cadavre ( c'est le terme employé qui ne décrit pas un corps ensanglanté qui vient de passer sous un train, car il est sec et aucune trace de sang ne se trouve ni sur le corps, ni sur le ballast : il n'est pas mort sur le voie ferrée ), a du être écrasé et découpé par les roues d'un train passé avant eux.

voyage en cabine TER de Grisolles à Saint Jory

               Gendarmes et pompiers de Fronton arrivent à 12h45. Le SAMU arrive de Toulouse à 13h et le Dr J. constate le décés et signale une réserve par examen médico-légal sur son constat de décés, et il repart.

               La zone d'ombre se trouve dans cette plage horaire de 19h à midi : qu'a fait Jean-Eudes durant toute la nuit et la matinée ? Difficile d'imaginer qu'il a attendu entre canal et voie ferrée toute la nuiit à 10°C et toute la matinée pour se suicider sous un train à 11h45 comme l'ont écrit dans leur conclusion les gendarmes de la BR de Toulouse (qui savent parfaitement ce qui  s'est passé mais ont reçu l'ordre de verrouiller l'enquête en suicide).  

              De plus cette thèse est impossible vu le nombre important de trains, leur ralentissement entre 10h et midi et l'état du corps froid à midi 10.

               Cette question sur la plage horaire de 17 heures entre 19h et midi n'a pas été fouillée par les enquêteurs de la BR de gendarmerie de Toulouse, ni par la Justice malgré de nombreux indices à vérifier fournis par le père de Jean-Eudes

               Cette semaine-là il faisait très beau la journée ( 20°C) mais les nuits étaient très fraiches ( 10°C ) selon les relevés de météo France. On peut donc imaginer que JE n'a pas pu passer la nuit entre le canal et la voie ferrée malgé sa polaire. Il y fait froid et humide..

               Une certitude : à 5h du matin sa voiture était toujours au même endroit sur le parking et personne n'était à l'intèrieur. Mr P., mari du témoin n°1 a indiqué celà au père de JE car il arrive de tournée de livraison à 5h du matin et se gare sur le parking de l'écluse. Ce Monsieur n'a jamais été interrogé par les gendarmes !!!

              D'autre part, le conducteur du dernier train de fin de matinée ( Corail TEOZ Cerbère-Paris 3630 ) passé vers 11h45 le vendredi 26 sept 2008 a indiqué aux enquêteurs n'avoir heurté, ni vu aucun corps sur la voie côté canal, ce conducteur a indiqué au père de JE par communication téléphonique, que la nuit ils voient même un lapin dans leurs phares puissants et que de jour il est impossible de ne pas voir un corps humain ou un animal et qu'ils ont pour consigne STRICTE de s'arrêter pour tout "objet" découvert sur la voie !!!! Le chef de district Mr Z. venu sur les lieux demandera à témoigner devant la justice pour confirmer ces dires ( ce jour-là il a coché la case "suicide" parce que le gendarme TIC présent le lui a dit - étrange comportement du TIC qui affirme "suicide" devant un étrange cadavre sur la voie publique découvert en plein jour  à midi par grand beau temps - ), son audition sera refusée 3 fois par la justice ( instruction du juge Ph.C. et du juge P. et en appel, Présidente J.C. ).

Lien vers témoignage du Chef de District SNCF Mr Z. ............... ( à joindre )


              Donc, si JE s'était fait happé de nuit par le côté des wagons d'un train de nuit, il aurait été projeté sur le bord de la voie et pas découpé par les roues au niveau des genoux ( ce qui correspond à un passage allongé en travers de la voie ferrée ). Ce scénario proposé par le juge Ph.C. est incohérent et impossible.  

              Le corps n'était pas au bord des voies lors de sa découverte donc pas happé par le côté. 
   
              Je suis ( père de JE ) resté une matinée entière, agrippé au poteau caténaire ( pour me pas me faire "aspirer" c'est-à-dire "happer" ), à l'endroit où le corps a été découpé par les roues : TOUS les trains ( une vingtaine ) qui sont passés dans le sens montant Toulouse-Montauban m'ont klaxonné et ont fait des appels de phare.

Lien vers "plan de découverte du corps" ........ ( à joindre ) .........................

              L'adjudant de gendarmerie OPJ (officier de police judiciaire) H., sur demande la procureure L. appelle l'IML ( institut médico-légal ) de l'hopital de Rangeuil à Toulouse pour qu'un médecin légiste vienne constater l'état du corps. Bizaremment, il n'arrive pas à obtenir le déplacement de ce médecin légiste. La procureur L. refuse toute évacuation du corps tant que le médecin légiste n'est pas passé.

              Mais, à 14h, alors que la circulation des trains est bloquée depuis prés de 2 heures sans aucune action, les gendarmes TIC de la BR ( Techniciens en Investigation Criminelle ) de Toulouse arrivent en compagnie de 2 autres gendarmes de la BR.

              Les TIC font alors des relevés sur la position des éléments ( corps, vêtements, téléphone portable, CB et clefs ) trouvés sur le ballast et les voies ferrées.

              A 15h30 le corps est évacué par  les pompes funèbres. Le trafic est totalement ouvert après plus de 3 heures d'interruption.

             Des anomalies seront constatées lors de la découverte du dossier par les parties civiles, un an plus tard, en septembre 2009, après avoir porté plainte contre X pour homicide volontaire en août 2009 ( une consignation de 4000 euros a été demandée aux parents de Jean-Eudes pour avoir droit à une enquête minimum qui n'a pas été faite durant 9 mois ) 
            
              => Voir "la plainte et l'instruction"

             Une enquête approfondie, donc dirigée par un juge d'instruction, c'est un minimum auquel la famille a droit dans un tel cas où personne n'a vu Jean-Eudes se jeter sous un train, et où la découverte d'un cadavre sec et froid, sans traces de sang, est pour le moins très étrange et inhabituelle. ( un corps mort, refroidit de 2°C par heure environ mais pas du tout durant les 2 1ères heures. Il était donc bien mort depuis plus de 6 heures - début de rigidité - , vraisemblablement en début ou en cours de nuit. Une demande de vérification de mort par noyade ou étouffement n'a jamais été réalisée; elle génait surement ces Messieurs gendarmes et magistrats dans leur "suicide" ).

lien vers rigidité et diagramme de refroidissement d'un corps ...... à compléter ....

              => Or seule une "enquête préliminaire" a été diligentée uniquement à cause de l'envoi de la LRAR de protestation au procureur de la République de Toulouse, par le père de Jean-Eudes fin octobre 2008.


...... à compléter ............

vendredi 14 décembre 2012

AVERTISSEMENT

 L'ENQUETE INTERDITE


LES LANCEURS D'ALERTE COMMENCENT PAR ETRE DENIGRES, TRAITES DE PARANOS...et puis le temps passant on s'aperçoit qu'ils avaient RAISON (scandales de l'amiante, du médiator, ..etc..et bientôt du diesel ).

POUR NE RIEN LAISSER PASSER, MERCI DE CLIQUER A DROITE SUR LES AUTRES CHAPITRES : 

2012 (Dec) : "Chronologie des faits", "Octobre 2008 : Classé suicide", "Enquête préliminaire", "La plainte et l'instruction", "Les témoignages" ...

-  2013 (Mars) : "Pièces du dossier"


Ce blog a pour raison d'être de réexaminer le déroulement des évènements connus à ce jour à partir de l'arrivée de la 205 rouge de Jean-Eudes ( ce qui ne prouve pas que cest lui ..... justement ce n'est pas lui ) à l'écluse d'Embalens, à 25 kms au Nord de Toulouse sur le canal latéral à la Garonne, ce jeudi 25 septembre 2008 vers 18h30 après le travail, et de remettre en évidence des facettes de l'enquête qui ont été totalement volontairement occultées par les enquêteurs et la justice.
   
Il s'adresse en particulier à tous ceux et celles qui restent sceptiques sur la thèse officielle du suicide, et qui ne renoncent pas à comprendre ( c'est très facile de démontrer que ce n'est ni un suicide ni un accident mais un crime prémédité: lisez plutôt et on en reparle ).


Pour commencer voila un article du journal "La Croix" qui parle de ma lutte ( c'était en janvier 2011 et je suis toujours là plus de 2 ans après ) :

http://www.la-croix.com/Actualite/France/Des-justiciables-decus-denoncent-la-partialite-des-juges-_NG_-2011-01-24-605913


En tant que partie civile, nous avons pu constater dans le dossier que les informations qui y figurent ne sont pas cohérentes avec ce qui a été écrit dans la presse :

http://www.ladepeche.fr/article/2008/09/27/478001-un-toulousain-sain-et-sauf-apres-un-choc-avec-un-train-lance-a-90km-h.html

La Dépèche du midi du samedi 27 septembre 2008 :
St-Rustice: un corps sur la voie ferrée
À Saint-Rustice, près de Castelnau-d'Estrétefonds, le corps sans vie d'un jeune homme a été découvert sur la voie ferrée, hier, vers 12h15. Selon les premiers éléments de l'enquête des gendarmes de la brigade de recherches de Toulouse St-Michel, il s'agirait d'un suicide. La victime serait un homme âgé de 25 ans, domicilié à Ramonville où il travaillerait. L'alerte a été donnée par deux employés aux commandes d'un train d'équipement qui circulait entre Saint-Jory et Montbartier (Tarn-et-Garonne). Deux TGV ont été retenus à Montauban et Toulouse. Le trafic a repris vers 15 heures."

En effet dés le 1er jour il est question de suicide sans que la moindre début d'enquête ait été commencé.
  
Pour résumer notre position, deux simples constats :
   
le scénario officiel du suicide présente trop d'incohérences pour pouvoir nous convaincre. Par exemple, les éléments du dossier montrent qu'il a été écrit que "le corps était aux abords des voies" alors que le corps était au milieu de la voie montante Toulouse - Montauban située du côté canal.

de nombreux éléments issus tant du dossier que de recoupements personnels, peuvent nous permettre de confirmer que le corps de Jean-Eudes, découvert à l'état de cadavre froid à midi 10 le vendredi 26 septembre 2008 par 2 conducteurs de locomotive venant de Toulouse, n'a pas pu rester le minimum de 6 heures ( délai minimum pour atteindre l'état du corps découvert, froid et rigide, sans aucune trace de sang sur lui ni sur le ballast ) sur la voie sans que les 40 conducteurs de trains passés de jour entre 7 heures et midi, dans les 2 sens, à cet endroit en quasi-ligne droite, n'aient vu ce corps.

Aucune autopsie n'a été faite contrairement à ce que m'avait dit l'adjudant H. Je l'ai découvert un mois plus tard en appelant l'IML de l'hopital Rangueil à Toulouse. La dame que j'ai au téléphone me dit qu'il est inscrit : "examen externe du corps demandé par l'adjudant C.". Or Chaque fois qu'un corps est découvert sur la voie publique ( même si la thèse du suicide est évoquée sans certitude ) il DOIT y avoir une autopsie du corps. Or dans ce cas précis aucun conducteur n'a signalé avoir vu ou heurté une personne avant sa découverte à midi 10 par un conducteur ce venant de Toulouse, et ceci à l'état de cadavre froid sans aucune trace de sang !!!!!. Il est évident à n'importe quelle personne non avisée que ce cadavre à cet endroit, en ligne droite sur une voie ferrée très fréquentée, en plein jour, par beau temps, est étrange et IMPOSE une autopsie. J'écrirai donc au procureur de la République de Toulouse début Nov 2008. Dans ma lettre je demandais qu'une autopsie soit réalisée car le corps ne nous avait pas encore été rendu, et qu'une analyse des poumons soit faite pour déterminer s'il avait pu y avoir mort par étouffement ou par noyade : cet examen des poumons ne sera JAMAIS réalisé, bizaremment.

Jean-Eudes au sommet du Mont Valier dans les Pyrénées le 30 août 2008 ( 3 semaines avant sa mort étrange ). Photos prises par sa camarade de randonnées France D.  :
 


Saut en snowboard à Super Besse en 2004 :


Jean-Eudes (à gauche) avec son frère et sa  jeune soeur dans les Alpes le 22 août 2008 (un mois avant sa mort) :



....et là en juillet 2008 chez ses parents à St Germain Lembron avec ses cheveux très courts 



...et là lors qu'une soirée de danse afro-brésilienne le 14 juin 2008 (2ième à gauche cheveux courts) :


...et là en Avril 2008 dans un restau Toulousain avec ses frère et soeurs. Il avait une tête de suicidaire y compris le dernier jour où il avait bien rigolé à midi avec son copain Pierre....ils sont fous ces gendarmes et magistrats....et en plus j'ai toutes les preuves que c'est un crime maquillé en suicide dans le dossier :


......et encore là en juillet 2008 avec son neveu Terence, fils de son frère ainé du Havre :


La piste homosexuel tabassé :

Et là je vais prouver que Jean-Eudes n'était absolument pas homosexuel car sous prétexte d'avoir dégommé un homosexuel après lui avoir fait subir des sévices sexuels, tout le monde se serait mis d'accord pour détruire le corps sous un train. Il a vécu avec Aurélie à Grenoble en appartement, alors qu'il était étudiant, et il parlait du manque de son ex-petite amie avec ses copains, disant que ça commençait à faire long ( il s'étaient séparés en janvier 2007 ). Ce qui explique que le vice-procureur B. (pas plus que les juges d'instruction qui ont suivi)  n'a pas mis le contenu de ses mails dans le dossier car celà prouvait qu'il n'était pas homosexuel.

Voilà la preuve qu'en 2006 il était avec Aurélie ( en bas à droite, elle en pull orange et lui en pull beige ) :


Pourquoi cette piste homosexuelle ?

Parce-qu'il y a plusieurs éléments factuels qui conduisent à cette hypothèse dont un qui affirme que cette écluse est le lieu de RVs de couples illégitimes. Un autre élément c'est que le corps était dévêtu sur la voie ferrée et que ni le slip, ni le pantalon n'ont été retrouvés

D'autre part, comment expliquer que sur les 2 vêtements retrouvés sur la voie ferrée à des endroits improbables et sans trace de sang, les TIC ( techniciens d'investigation criminelle ) de la BR de gendarmerie de Toulouse ont lavé les poches de la polaire verte de JE après les avoir découpés et jeter le reste avoir mis son polo ( qui a quelques trous à l'avant et un déchirure très nette (comme faite à la main à l'épaule droite ) avec le corps direction l'IML et pas dans un scellé ?

Tout plaide pour une mise en scène des morceaux du corps et des vêtements restants sur les voies ferrées. ( hypothèse validée par un gendarme de BR en retraite contacté en privé, qui a vu le dossier et les photos ). 

4 février 2013 : une autre information que je peux donner : Un procureur et un juge nous ont dit : "votre fils était beau". Est-ce que quelqu'un peut croire que celà a été dit par hasard dans une enquête "suicide" ? non bien sur. J'ai beaucoup d'informations encore sur ce sujet "spécial sexe Toulouse".

Il y a beaucoup d'autres éléments que je ne peux pas évoquer ici.

Il est bien connu que chaque fois qu'un homosexuel est découvert mort après avoir été tabassé, aucune enquête n'est faite pour retrouver les coupables par la gendarmerie, la police et la justice. Donc cette hypothèse est parfaitement cohérente avec les conditions de la découverte du corps et le comportement des gendarmes et de la Justice depuis 4 ans (pas de recherches précises sur les trains de fin de matinée ni d'audition de leurs conducteurs, disparition de vêtements et du portable de JE).   

6 février 2013 : AUTRE HYPOTHESE 

           D'après la dame témoin ( Madame P. ) de l'arrivée de Jean Eudes sur le parking de l'écluse, elle le décrit comme un homme de 30 - 40 ans avec une veste et un pantalon GRIS et qu'il est parti en direction du village de St Rustice ( comme pour rejoindre la RN20 qui permet de retourner à Toulouse, où quelqu'un pouvait l'attendre en voiture pour le ramener à Toulouse ). Or Jean Eudes n'était pas habillé comme celà au travail, ni sur la voie ferrée lors de sa découverte. Ceci pose la question importante : était-ce bien lui qui a conduit la 205 rouge à l'écluse ?

          Si ce n'est pas lui, alors c'est une personne qui est venu  déposer la voiture là en vue de la "mise à découper" du corps de JE sur la voie ferrée, soit la nuit, soit le lendemain.
         
          Dans ce cas , il se pourrait que JE ait été renversé par une voiture à Ramonville en sortant du travail et que la personne qui conduisait ( un SNCF ? Toulousain avec des "complices" locaux ....ce qui correspond à des phrases que j'ai entendu sur place vers le PN180..... ) connaissait cet endroit idéal du PN180 à l'écluse d'Embalens, pour simuler un suicide sous un train

          Son pantalon et son slip auraient été ôtés parce-qu'ils avaient des traces suspectes qui montraient que ce n'est pas un train qui les avaient faites. 

7 février 2013 : Nouvelles découvertes :

            Après relecture du rapport du médecin légiste sur l'examen EXTERNE du corps, il indique que  "un morceau de pantalon GRIS " est mélangé à la chair. 


           Après vérification des pantalons de Jean-Eudes récupérés dans son studio à Toulouse, il s'avère qu'il ne portait pas un des 2 seuls pantalons GRIS qu'il avait. Donc, il apparait que les "constatations" du médecin légiste se sont appuyées sur la déclaration de Madame P. pour faire coincider sa constatation avec ce qu'a vu cette dame.

           Parmi toutes les invraisemblances et mensonges provenant de tous : gendarmes, médecin légiste et magistrats, ce n'est qu'un élément troublant de plus qui vient confirmer un énorme MANIPULATION. 

            Nous ( non je ne suis pass eul à délirer dans mon coin à cause de la peine et de la douleur comme certains le croient ). Je sui très équilibré et j'ai de suite vu, dès le 1er jour, que des choses ne collaient pas du tout dans ce que nos racontaient les gendarmes et tout s'est confirmé par la suite ). 

            Non, je n'ai pas peur d'écrire celà car ce n'est que la totale vérité, prouvable à tout instant par le dossier. De plus ayant regardé les photos du corps de mon fils sur la voie ferrée, on ne voit absolument aucun morceau de pantalon, ni de slip.

            Il est de plus en plus probable que Jean-Eudes n'est JAMAIS allé à cette écluse d'Embalens. Sa voiture y a été déposée sur le parking par une autre personne.

            Une demande de déclenchement de relais dans la zone de l'écluse d'Embalens a été faite pour chacun des 3 opérateurs de téléphonie MAIS aucune réponse n'a été versée au dossier et même cette faute grave des enquêteurs de la BR de gendarmerie ( Dissimulation de la vérité ) n'a été sanctionnée par aucun des juges ayant eu le dossier en charge soit en instruction, soit en appel...et vous croyez qu'après celà je n'imagine pas qu'ils ont tous des choses importantes à nous cacher ?  

           C'est MONSTREUX et INOMMABLE.   

13 février 2013 : 
Si vous avez du mal à croire que ce n'est pas un suicide, alors demandez-vous pourquoi ce polo était quasiment INTACT 70 mètres après les pieds (découpés au bord du rail extèrieur côté canal) et 10 mètres avant le corps situé à 80 mètres aprés les pieds. Le polo aurait été trainé sur le ballast pendant 70 mètres, le polo se serait alors détaché du corps ( par quel miracle) et il n'avait ni une déchirure, ni une trace de sang :


19 février 2013 :   
        
J'apprends ce matin que :

       1 - Jean Eudes s'était bien acheté ce polo le 29 août 2008 chez Décathlon à Toulouse ( CB dans son relevé bancaire et confirmation par sa mère à qui il l'avait dit ).

       2 - Son collègue de bureau dit l'avoir vu souvent les derniers jours de septembre par beau  temps avec un polo a rayures horizontales

Donc c'est bien son polo. Il est IMPOSSIBLE qu'il se soit jeté ou soit passé sous un train avec ce polo et que celui-ci se trouve dans l'état de la photo dans les conditions décrites ci-dessus.

Donc ce polo  a été posé là AVANT l'arrivée de la locomotive qui découvre le corps à midi 10.

LA MISE EN SCENE DES MORCEAUX DU CORPS ET DU POLO et de la CB ticket TISSEO etc.... EST SURE ET CERTAINE. CELA CONFIRME TOTALEMENT L'HOMICIDE AVEC PREMEDITATION.

http://fr.netlog.com/jeudes31
Ce netlog a été créé par Jean-Eudes, 4 jours avant sa mort, dans le but d'entrer en contact avec un copain d'enfance perdu de vue et retrouvé en 2008 et qui l'avait contacté la veille via netlog sur sa bal . Il est en Thailande où il artiste dans le cirque. Jean-Eudes devait aller lui rendre visite ( celà faisait partie de plusieurs projets ).

http://fr.netlog.com/jeanlombard

( blog à sa mémoire )

Ce voyage en train il aurait dû le faire dans un wagon et pas sous un wagon. Il était passé là 3 semaines plus tôt dans les 2 sens pour aller voir son frère et son neveu de 6 mois au Havre. Jean-Eudes allait très bien et avait p^lein de projets.

Le jeudi 25 septembre 2008, à 17h30 son collègue de bureau lui a dit "au revoir" dans son bureau à Ramonville. Cette journée avait été normale comme les autres. Il avait même rempli une carte de fidélité Décathlon dans la journée du 25 septembre 2008, trouvée dans ses papiers.

mais ce vendredi 26 septembre 2008, c'est sur la voie ferrée, entre les rails, que son corps a été retrouvé :

voyage en cabine TER de Grisolles à Saint Jory

lien vers simulateur de conduite de train (avec système VACMA) et commentaires sur la vigilance  des conducteurs de train impérative pour ne pas risquer de laisser voir un corps à des passagers et aussi pour la sécurité des convois => http://fr.wikipedia.org/wiki/Veille_automatique

Impossible que le corps ait pu rester toute la matinée (au minimum) au milieu de le voie côté canal sans qu'un conducteur ou des passagers ne l'aient vu. Donc son corps mort depuis plus de 6 heures a été jeté sous un wagon du dernier train TEOZ 3630 Cerbère-Paris passé vers 11h45 alors qu'il était arrivé la veille vers 18h30 se promener à l'écluse voisine (cette thèse est la seule possible, sauf une découpe par une draisine venue sur l'autre voie dans la matinée puis une mise en scène des morceaux de corps sur cette voie).
Un témoin très important ( que j'ai contacté 2 ans après le drame car son nom et son n° de téléphone figuraient dans le dossier ), Monsieur Z., cdt SNCF, appelé sur les lieux pour gérer la remise en circulation des trains, arrivera le 1er sur les lieux vers midi 15 et passera les 3h 1/2 à noter qui faisait quoi dans un rapport REX trés détaillé figurant dans le dossier.

Ce Monsieur a demandé dans un courrier très clair et explicite à être entendu par les juges , son avis est sans ambiguïté

-ce corps ne venait pas de passer vivant sous un train dans la matinée comme le prétendent gendarmes et magistrats.

- le TIC de la BR lui a dit que la mort remontait à 6 heures minimum.

- Mr Z. n'a jamais vu de corps dans un tel état ( froid et sec sans aucune trace de sang = un cadavre ) au cours des 20 ans de déplacement sur les accidents de personne.

- tous ses collègues conducteurs de trains Toulousains qui passent à cet endroit depuis 20 ans affirment qu'aucun conducteur ne peut pas ne pas voir un corps au milieu de la voie.  

Pour lui la seule possibilité est un jet à 2 personnes du corps déjà mort sous un wagon du dernier train corail TEOZ 3630 passé juste avant midi au ralenti, dont le conducteur ( audition dans dossier + je l'ai eu au téléphone 3 fois ) a AFFIRMé avec certitude n'avoir ni heurté avec sa locomotive, ni être passé sur un corps au milieu de la voie à 11h45 dans le sens Toulouse-Montauban, sur la voie côté canal. De plus ce conducteur était accompagné par un autre conducteur de Limoges depuis Toulouse.

              La justice a aussi refusé d'entendre ce 2ième conducteur de Limoges.

              Malgré toutes ces précisions fondées et réalistes, l'audition de Mr Z. sera rejetée à 3 reprises. 

             On ne peut qu'en déduire que tout ce qui n'allait pas dans le sens de la thèse du suicide a été rejeté par la justice. 

              TOUT CECI C'EST EXTREMENT LOUCHE. Après ces 4 années d'enquête verrouillée, la seule conclusion à en tirer c'est que des personnes sont protégées ( pourquoi ? ) Une autre certitude : c'est la gendarmerie qui verrouille et la Justice qui suit.


Fin Octobre 2008, l'enquête étant au point mort suite à la disparition de l'enquête de l'adjudant H. de Fronton ( suite à une TS liée à l'enquête sur la mort de JE => on lui a imposé de classer en suicide et n'a pas supporté ma pression), j'écris au procureur de la République pour qu'une enquête préliminaire soit ouverte

Ce sera le cas le 12 novembre 2008 sous la direction du vice-procureur B. L'homicide maquillé en suicide, c'est ce que la gendarmerie et la justice Toulousaine refusent de reconnaitre alors que beaucoup d'éléments découverts au cours de mon enquête ( père de JE ) conduisent à cette seule version :

1 - Pas d'enquête suite à la découverte du corps mais "suicide" imposé à la famille par la gendarmerie de Fronton (31),

2 - Suite à la pression du père de Jean-Eudes, la gendarmerie a commencé un "semblant" d'enquête en octobre 2008, mais il a fallu une lettre de colère au Procureur de la République de Toulouse fin octobre 2008 pour qu'une recherche des causes de la mort soit mise en oeuvre ( enfin c'est ce qu'on nous a fait croire ).

Pendant les 4 ans écoulés ( entre le 26 sept 2008 et ce jour ) je n'ai pu rien faire pour accélérer l'enquête. Ce sont eux qui ont fait duré volontairement. J'ai contesté dés le début leur version étant donné toutes les incohérences. J'avais même écrit au lieutenant D., patron de la BR, en lui faisant la liste des incroyables incohérences et mensonges que j'avais découvert durant ce 1er mois d'octobre 2008, le mois qui a suivi la mort de mon fils. Ils ont tout mis en oeuvre de tous côtés pour me dégouter et m'intimider. Non les 4 ans je n'y pouvais rien car :

1 - 10 mois d'enquête préliminaire ( là mon avocat aurait pu porter plainte plus tôt, je l'ai harcelé pendant des mois ),

2 - En sept 2009 j'ai eu accès au dossier ce qui est bien + la juge D. a pris en charge le dossier en oct 2009,

3 - Au bout de 6 mois elle été dessaisie du dossier ( c'est ce qu'elle m'a dit ) ou est partie en maladie .. ce qui est sur c'est que ses commissions rogatoires ont été sabotées ou pas réalisées par les gendarmes de la BR,

4 - en Mai 2010 les enquêteurs rendent leur conclusion débile mais la juge n'est plus là,

5 - en sept 2010  je réussis à avoir une nouvelle copie du dossier et j'apprends de nouvelles infos intéressantes,

6 - le juge C. ( doyen ) reprend le dossier. Je demande tout ce qui n'a pas été fait par la juge D. et des nouveautés sur la téléphonie sabotée par la BR,

7 - en janvier 2011, le juge C. rejette toutes les demandes => appel : le juge P. rejette aussi en bloc toutes les demandes d'actes,

8 - je prends contact téléphonique avec le cdt SNCF Z. qui était sur les lieux, a écrit le rapport qui est dans le dossier d'enquête, qui va faire sa propre enquête avec des collègues conducteurs de train Toulousains. Il conclut à un crime et demande à être entendu par le juge => refus par le juge C. appel  => refus par le juge P.. Je prends aussi contact tel avec le dernier conducteur de la matinée (TEOZ 36030 Cerbere -> Paris ) passé à 11h45. Ils étaient 2 en cabine et il n' y avait rien sur la voie, ni vivant, ni mort.

9 - en juin 2011 : non-lieu du vice-proc B.

10 - en janvier 2012 : non-lieu du juge C. ( sans avoir fait aucun acte entre oct 2010 et janvier 2012 !!!! )

11 - janvier 2012 : appel devant la chambre de l'instruction

12 - avril 2012 : demande de dépaysement du dossier ( sur les conseils de la juge D. que j'ai eu au tel en nov 2011 )

13 - juin 2012 : rejet de la demande de dépaysement par la cour de cassation de Paris,

14 - 28 juin 2012 : audience en appel à Toulouse,

15 - 15 nov 2012 : arrêt de la cour d'appel = non-lieu sans aucune réponse au mémoire détaillé de 15 pages ( non réponse à des réquisitions MAJEURES : pas de géolocalisation du téléphone portable de JE, pas de récupération des réquisitions sur les appels émis et reçus sur ce portable, disparition du portable pourtant sous le scellé n°1, mails échangés entrants et sortants pas versés au dossier, incohérences dans les déclarations de plusieurs personnes.....etc... il y en a plein d'autres ). Pour toute précision me demander par mail.

Je ne pouvais rien faire tant que la justice ne s'était pas prononcée. Ils font exprès de faire durer.

 28 janvier 2013 : c'est mon anniversaire -père de Jean-Eudes- (  63 ans ) une journée terrible de plus à vivre depuis 4 ans 1/2 où ils ( j'ai la liste ) nous ont volé notre fils et frère, et celà parce-qu'il a eu le tort d'être un jeune homme beau, sportif et en excellente santé ( c'est ce qu'a dit le vice-procureur B. à ma femme et que m'a dit la juge D. à moi : "votre fils était beau" ). Etant donné le contexte, mon fils n'étant absolument pas homosexuel, il est évident qu'il a pu subir des sévices sexuels car il n'y avait ni slip, ni pantalon sur la voie ferrée. Il fallait nous donner les photos du corps ( les originales en photo couleur et pas de mauvaises photocopies en noir et blanc de mauvaise qualité, de façon à ce qu'on ne puisse pas voir les détails ) et ne pas tricher sur l'examen du corps et sur les scellés en jetant des vêtements et en "égarant" son téléphone portable. Trop de mal nous a été fait pour clore cette affaire sans rien dire et rien faire.

PREALABLE : Pourquoi notre plainte contre X pour homicide volontaire avec constitution de parties civiles est-elle justifée ?  

1 - Parce-que, bizaremment, le Doyen des j juges d'instruction du TGI de Toulouse Mr Ph. L. nous demande une consignation de 4000 euros en août 2009 ( après 10 mois d'enquête préliminaire durant lesquels le vice-procureur B. et les gendarmes enquêteurs de la BR n'ont quasiment RIEN fait ). Une telle somme est demandée pour DISSUADER les plaignants de porter plainte. En effet cette consignation n'est pas remboursée si la plainte est jugée ABUSIVE (une amende étant alors émise contres les plaignants à la fin de l'instruction).

2 - Parce-que le 11 janvier 2012, lorsque le nouveau Doyen des juges Ph. C. prononce le non-lieu (alors que RIEN n'est fait depuis mai 2010, donc toujours pas des bulletins de services des conducteurs de trains entre 11h et midi, ce qui était le MINIMUM) )  AUCUNE AMENDE ne nous est infligée pour plainte ABUSIVE !!! 

CONTRADICTION : d'un côté on nous dit "ce n'est pas un homicide" et d'un autre côté on reconnait que notre plainte pour homicide n'est pas ABUSIVE

Les 4000 euros me seront remboursés à l'issue de la procédure judiciaire encore en cours (un pourvoi en cassation a été fait le 16 nov 2012 après un 2ième non-lieu à la cour d'appel de Toulouse).

Si c'est un suicide ( comme on nous l'assène depuis 4 ans 1/2 alors que tout prouve que c'est un homicide ) pourquoi => cliquer sur : "C'EST UN SUICIDE..ah bon ??"

2 Mars 2013 : ça y est, les pièces du dossier arrivent. Vous allez pouvoir constater de vos yeux que je ne raconte pas de mensonges ( en plus, mentir,  ce n'est pas mon "truc" ).

 1er document : 



Pour ceux qui ne croient pas qu'aucun médecin légiste n'est venu sur la voie ferrée, ni que le corps était à l'état de cadavre froid mort depuis de longues heures (un minimum est un décès 6 heures avant la découverte du cadavre : version émise  par un TIC de gendarmerie) je vais produire des documents ciblés de l'instruction.

ça commence bien ! "découverte de cadavre" : il est écrit que la  mort date du 26 sept 2008 à 13h10 (constatation de la mort par le Dr J. du SAMU31)  alors que le corps est découvert froid sans aucune trace de sang à midi 10, une heure plus tôt..... la mort remonte au minimum à 6 heures. 

Or cet OPJ demande un examen de corps à l'IML mais ne fait pas venir le médecin légiste sur la VF (ce qui est pourtant obligatoire en cas de découverte d'un tel cadavre sur la voie publique). 

De plus, il aurait pû constater la présence d'un linge noué autour du torse et dater avec précision l'heure du décés ( étrange comme ils sont myopes quand ça les arrange ).


             Quoiqu'il en soit, le CADAVRE de Jean Eudes découvert à midi 10, ne peut pas être mort une heure plus tard à 13h10 ... Tout est comme celà et bien pire dans ce dossier.

             Les autres documents se trouvent dans le chapitre => 2013 : "Pièces du dossier" ( clic gauche dessus à droite ).

             Et maintenant allez lire la suite dans les autres paragraphes.
            
             Pour avoir d'autres articles ou commentaires sur cet évènement taper "embalens 26 septembre 2008" dans  google.

             Un autre cas à Toulouse ( avec le même médecin légiste que pour Jean-Eudes = pas d'autopsie et sabotage de l'examen du corps ) :

AZF : jacques-zeyen-et-les-bizarreries-de-la-snpe


            Le complément est expliqué dans :  "Chronologie des faits", "L'enquête préliminaire", "La plainte et l'instruction", "qui était Jean-Eudes", "Les dysfonctionnements de la gendarmerie et de la justice"